Dany Laferrière, de son vrai nom Windsor Klébert Laferrière, est né le 13 avril 1953 à Port-au-Prince, en Haïti. Fils d’un père intellectuel et homme politique et d’une mère archiviste, il passe son enfance à Petit-Goâve chez sa grand-mère, Da, pour fuir les représailles du régime de François Duvalier, son père étant alors en exil politique.
Après un retour à Port-au-Prince à l’adolescence, il fait ses études secondaires au Collège Canado-Haïtien et commence à travailler comme journaliste dès 19 ans. En 1976, après l’assassinat de son ami et collègue Gasner Raymond par les Tontons Macoute, il quitte précipitamment Haïti pour s’installer à Montréal.
Laferrière poursuit sa carrière au Québec, où il s’impose comme écrivain, chroniqueur et journaliste, tout en s’investissant dans la vie culturelle. Il vit ensuite à Miami dans les années 1990, puis revient à Montréal en 2002. Il est reconnu pour ses réflexions sur l’identité, l’immigration et la mémoire, et pour son style autobiographique.
Il reçoit le prix Médicis en 2009 pour L’énigme du retour. En 2013, il devient le premier Haïtien, Canadien et Québécois élu à l’Académie française.
Dany Laferrière, de son vrai nom Windsor Klébert Laferrière, est né le 13 avril 1953 à Port-au-Prince, en Haïti. Fils d’un père intellectuel et homme politique et d’une mère archiviste, il passe son enfance à Petit-Goâve chez sa grand-mère, Da, pour fuir les représailles du régime de François Duvalier, son père étant alors en exil politique.
Après un retour à Port-au-Prince à l’adolescence, il fait ses études secondaires au Collège Canado-Haïtien et commence à travailler comme journaliste dès 19 ans. En 1976, après l’assassinat de son ami et collègue Gasner Raymond par les Tontons Macoute, il quitte précipitamment Haïti pour s’installer à Montréal.
Laferrière poursuit sa carrière au Québec, où il s’impose comme écrivain, chroniqueur et journaliste, tout en s’investissant dans la vie culturelle. Il vit ensuite à Miami dans les années 1990, puis revient à Montréal en 2002. Il est reconnu pour ses réflexions sur l’identité, l’immigration et la mémoire, et pour son style autobiographique.
Il reçoit le prix Médicis en 2009 pour L’énigme du retour. En 2013, il devient le premier Haïtien, Canadien et Québécois élu à l’Académie française.
Écrivain extraordinaire, homme de cœur et de conviction, c’est avec la parution de cet essai, »Un certain art de vivre », que Dany Laferriere fête ses 50 ans d’écriture. Sous forme de maximes, de réflexions commentées, de rêveries.
Dany Laferrière, de son vrai nom Windsor Klébert Laferrière, est né le 13 avril 1953 à Port-au-Prince, en Haïti. Fils d’un père intellectuel et homme politique et d’une mère archiviste, il passe son enfance à Petit-Goâve chez sa grand-mère, Da, pour fuir les représailles du régime de François Duvalier, son père étant alors en exil politique.
Après un retour à Port-au-Prince à l’adolescence, il fait ses études secondaires au Collège Canado-Haïtien et commence à travailler comme journaliste dès 19 ans. En 1976, après l’assassinat de son ami et collègue Gasner Raymond par les Tontons Macoute, il quitte précipitamment Haïti pour s’installer à Montréal.
Laferrière poursuit sa carrière au Québec, où il s’impose comme écrivain, chroniqueur et journaliste, tout en s’investissant dans la vie culturelle. Il vit ensuite à Miami dans les années 1990, puis revient à Montréal en 2002. Il est reconnu pour ses réflexions sur l’identité, l’immigration et la mémoire, et pour son style autobiographique.
Il reçoit le prix Médicis en 2009 pour L’énigme du retour. En 2013, il devient le premier Haïtien, Canadien et Québécois élu à l’Académie française.
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Écrivain extraordinaire, homme de cœur et de conviction, c’est avec la parution de cet essai, »Un certain art de vivre », que Dany Laferriere fête ses 50 ans d’écriture. Sous forme de maximes, de réflexions commentées, de rêveries. Voici cent pages pour devenir soi-même un peu japonais, selon Dany Laferrière. Ce livre, on le lit et on le relit, en y découvrant à chaque fois, un petit quelque chose de plus que la dernière fois. Si la séquence des chroniques peut sembler arbitraire, un récit traverse néanmoins le livre : Celui d’un homme ayant trouvé refuge à Bornéo pour encaisser le départ de Hoki. En fait, Dany Laferiere, cherchait une façon de dire l’amour, et il a remarqué que les gens qui sont dans la réalité de l’amour ne sont pas dans le discours. Tout bon lecteur qui fréquente depuis longtemps l’écriture de Dany Laferrière, reconnaîtra ici quelques phrases et formules croisées dans ses propres livres. Dany Laferrière est né à Port-au-Prince. Il a passé son enfance avec sa grand-mère à Petit-Goâve puis s’est exilé à Montréal, où il a publié tous ses livres.
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